Observatoire du commerce

Chiffres Clés Commerce Bordeaux Métropole 2025

Présentation de l'offre commerciale et de son évolution réalisée à partir des données de l'Observatoire de l'Offre Commerciale CCI Bordeaux Gironde :   Evolution Démographique Marché potentiel Établissements commerciaux Commerces non sédentaires Grandes et moyennes surfaces Pôles commerciaux Bilan CDAC Projets commerciaux Consommation des ménages Emploi E-commerce en France   Télécharger

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Les chiffres Clés Commerce Bordeaux Métropole 2023

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Voir aussi Les Chiffres Clés Commerce Bordeaux Métropole 2019

Chiffres Clés Commerce Gironde 2025

Présentation de l'offre commerciale et de son évolution en Gironde réalisée à partir des données issues de l'Observatoire de l'Offre commerciale CCI Bordeaux Gironde :   Évolution démographique Marché potentiel Établissements commerciaux Commerces non sédentaires Grandes et moyennes surfaces Pôles commerciaux Bilan CDAC Projets commerciaux Consommation des ménages Emploi E-commerce en France   Télécharger

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Réalisation de l’enquête soldes hiver 2025 : 

54% des commerçants interrogés jugent cette 1ère semaine des soldes décevante, voire très décevante. Ce chiffre est en baisse depuis 3 années consécutives. Ils étaient 57% en 2024, 62% en 2023 et 74% en 2022 à déclarer être déçus (- 20 points en 3 ans). Cela ne signifie pas que les résultats s’améliorent mais plutôt qu’il y a moins d’attente des commerçants sur le soldes.
Le démarrage qui semble avoir été plutôt calme a été compensé par un week-end plus dynamique, et clément en termes de météo.
 
Pour la 6ème année consécutive, 75% des commerçants déclarent que la fréquentation de leur boutique est inférieure, voire très inférieure à celle de l’an passé, avec des baisses de trafic allant de - 5%, -10% jusqu’à -15%.
 
46% des commerçants déclarent un CA inférieur, voire très inférieur à celui de l’année précédente, contre 47% en 2023 et 45% en 2022. Pour 34% des commerçants il reste stable par rapport à l’an passé.
Les mêmes explications reviennent : Le BlackFriday qui semble prendre de plus en plus de place dans le calendrier de la consommation des ménages, les ventes privées, un contexte économique et politique incertain.
Par ailleurs sont mis en avant de nouveaux comportements d’achat :
•    la concurrence de la seconde main qui monte en puissance et s’ajoute à celle du e-commerce.
•    Des achats réfléchis. Le consommateur compare se renseigne. La part des achats plaisirs, impulsifs diminue ce qui impacte négativement l’effet soldes.
 
Les ventes privées ont bien fonctionné après une année contrastée
80% des commerçants interrogés ont pratiqué des ventes privées et 70% sont satisfaits, voire très satisfaits des résultats, contre 63% en 2024, soit une hausse de 7 points.
 
Bilan des fêtes de Noël : des chiffres identiques à l’an passé
60% des commerçants se déclarent satisfaits, voire très satisfaits de leurs ventes lors des fêtes de Noël (vs 59% en 2023 et 74% en 2022, -14 points par rapport à 2022). Ils sont seulement 37% à déclarer un chiffre d’affaires supérieur, voire très supérieur à l’année dernière (vs 52% en 2022). Pour les commerçants, les clients auraient réalisé leurs cadeaux de Noël tardivement, et un décalage calendaire, supprimant le 1er samedi du mois pourrait expliquer ces résultats.
 

Réalisation de l’enquête soldes été 2024 : le 3 juillet 2024
106 commerçants interrogés sur le centre-ville de Bordeaux

• 40% des commerçants interrogés jugent cette 1ère semaine des soldes satisfaisante, voire très satisfaisante, un chiffre en forte baisse par rapport à celui enregistré l’an passé, où ils étaient seulement 71% à se déclarer satisfait du lancement des soldes (-31 points en 1an). Ce sont les commerçants positionnés sur du haut de gamme à destination d’une clientèle premium qui semblent les plus satisfaits par ce démarrage des soldes (boutique haut de gamme, luxe : clientèle fidèle et plus aisée).
• Seuls 7% des commerçants déclarent que la fréquentation de leur boutique est supérieure, voire très supérieure à celle de l’an passé (vs 41% en 2023), et 30% déclarent une fréquentation égale. Plusieurs constats peuvent être mis en avant : une météo maussade, un contexte économique et politique qui questionnent, une baisse du pouvoir d’achat, une clientèle moins enclin à faire des achats, un changement dans les comportements d’achat, une certaine clientèle touristique européenne ou internationale pas au rendez-vous, une clientèle qui ne s’est tout simplement pas aperçue que les soldes d’été avaient commencé.
• Cette fréquentation décevante du centre-ville a un impact négatif sur le CA, on note que seuls 22% des commerçants déclarent un CA supérieur, voire très supérieur à celui de l’année précédente, contre plus de 1 sur 2 en 2023. Les chiffres en termes de fréquentation et de CA enregistrés auprès des commerces du centre-ville sont inquiétants. On note que les commerçants font de plus en plus face à une clientèle plus prudente, plus réticente à acheter, les achats sont plus réfléchis, l’arbitrage au niveau de leurs différents postes de dépenses se fait ressentir sur les achats dans le prêt à porter.
• Des ventes privées en berne : un phénomène « inédit ». Pour les ventes privés, 3/4 des commerçants interrogés ont pratiqué des ventes privés (un chiffre en baisse par rapport aux années passés, 84% en 2023, 79% en 2022) et seuls 45% en sont satisfaits, voire très satisfaits des résultats, contre près de 2/3 en 2023, soit une baisse de 18 points par rapport à l’an dernier. Cette année, les ventes privées n’ont pas fait les résultats attendues. 

Contexte économique et politique : 

En plus d’une météo maussade depuis plusieurs mois, où 54% des commerçants considèrent que l’impact a été négatif à la fois sur la fréquentation du centre-ville, de leur boutique mais également sur leurs stocks, le contexte économique et politique ajoute son lot sur la consommation de leur clientèle.

Réalisation de l’enquête soldes d’hiver 2024 : les 17 et 18 janvier 2024
106 commerçants interrogés sur le centre-ville de Bordeaux

• 57% des commerçants interrogés jugent cette 1ère semaine des soldes décevante, voire très décevante, un chiffre légèrement inférieur à celui enregistré l’an passé, où ils étaient 62% à déclarer être déçus (et 74% en 2022, - 17 points en 2 ans). Accueilli par la neige, ce lancement des soldes a démarré très doucement, nombre de commerçants utilisent le terme « calme » pour qualifier ce lancement.
• Pour la 5ème année consécutive, 72% des commerçants déclarent que la fréquentation de leur boutique est inférieure, voire très inférieure à celle de l’an passé, avec des baisses de trafic allant jusqu’à -40%, voire -50%.
• 47% des commerçants déclarent un CA inférieur, voire très inférieur à celui de l’année précédente, contre 45% en 2022 (et 54% en 2022), pour 26% des commerçants il reste stable par rapport à l’an passé. L’enchainement des périodes promotionnelles, BlackFriday, ventes privées, et en parallèle la baisse du pouvoir d’achat avec des achats de la part des ménages plus réfléchis, un budget soldes moins élevé, une concurrence accrue du e-commerce, notamment dans le secteur de l’habillement, impactent négativement cet effet soldes.

Concernant les stocks et les remises pratiquées, après deux années impactées par la crise sanitaire, les commerçants semblent avoir retrouvé leur gestion habituelle des stocks, 54% ont déclaré des stocks égaux à ceux de l’an passé, et 73% ont appliqué les mêmes réductions que lors des soldes d’hiver 2022.

Selon l'enquête réalisée auprès des commerçants, 71% des commerçants interrogés jugent cette 1ère semaine des soldes satisfaisante, voire très satisfaisante. Un chiffre moindre à celui de l'an passé où ils étaient 74%. Un chiffre à la hause par rapport à l’an passé, où ils étaient seulement 49%.

• 41% des commerçants déclarent que la fréquentation de leur boutique est supérieure, voire très supérieure à l’an passé
• 50% des commerçants estiment leur chiffre d’affaires supérieur, voire très supérieur à celui des soldes d’été 2022 
• 89% des commerçants enquêtés ont constaté un retour de la clientèle touristique dans le centre-ville de Bordeaux.

Selon l'enquête réalisée auprès des commerçants, 62% jugent cette première semaine décevante, voire très décevante. Un chiffre moindre à celui de l'an passé où ils étaient 74%.

• 3/4 des commerçants interrogés déclarent que la fréquentation de leur boutique a été inférieure, voire très inférieure à celle de l’an passé (4ème année de baisse consécutive).
• 45% estiment leur chiffre d'affaires inférieur, voire très inférieur à celui des soldes d'hiver 2022. 
• 70% des commerçants ayant réalisé des ventes privées sont satisfaits, voire très satisfaites par leurs résultats (contre 51% aux soldes d'hiver 2022).

Le démarrage des soldes d’été a été décevant pour les commerçants bordelais, tant au niveau de la fréquentation que du chiffre d’affaires. Le trafic piétons a baissé de 30 à 50% dans le centre-ville et moins d’un ¼ des commerçants a mieux vendu que l’an dernier.

• 52% des commerçants interrogés déclarent que la fréquentation de leur boutique a été inférieure, voire très inférieure à celle de l’an passé pendant la 1ère semaine des soldes.
• Seulement 51% des professionnels obtiennent une amélioration de leur chiffre d’affaires. 
• Au niveau des ventes privées, organisées dans 79% des boutiques, seulement 52% des commerçants concernés sont satisfaits (ils étaient 65% en 2021). Cela représente une baisse de 17 points par rapport à 2019
   

Selon l’enquête réalisée par la CCI Bordeaux Gironde auprès de 116 commerçants du centre-ville de Bordeaux, les 19 et 20 janvier 2022, le démarrage des soldes d’hiver affiche des résultats décevants.

• 74% des commerçants bordelais jugent le démarrage des soldes d’hiver 2022 décevant à très décevant.
• ¾ des commerçants déclarent avoir accueilli moins de clients que l’an dernier dans leur boutique. Ces baisses atteignent jusqu’à -60% de trafic piéton
• 46% des commerçants déclarent un chiffre d’affaires supérieur ou égal l’an dernier

Si 65% des commerçants bordelais interrogés semblent satisfaits ou très satisfaits de ce démarrage malgré les ventes-privées et les promotions (quasi-permanentes), ceux situés sur le « Triangle d’or » (43%) estiment que cette reprise est décevante en raison notamment du manque de touristes étrangers attirés par les produits de « luxe ».

Bien évidemment, la répercussion se fait ressentir sur le Chiffre d’Affaires qui est supérieur voir très supérieur à 2020 pour 41% d’entre-deux malgré des stocks inferieurs dus à des ajustements de commandes en raison des différents confinements.

Côté typologie d’activité, le prêt-à-porter semble tirer son épingle du jeu avec 60% de satisfaction.

Un début de soldes très décevant

• une première semaine de soldes décevante, voire très décevante pour 77,4% des commerçants interrogés  (vs 59,5% lors des soldes d’été 2020).
• une fréquentation inférieure, voire très inférieure à celle de l’an passé pour 92,8% des commerçants (-30% à -70% de trafic piéton en fonction des quartiers).

Un impact direct sur le chiffre d'affaires

• une baisse de CA  de -20% à -40% par rapport aux soldes d’hiver 2020 pour 86,5% des commerçants

Ventes privées : des résultats mitigés

• 45,7% de satisfaction seulement pour les commerçants ayant pratiqué des ventes privées (82,9% des commerçants interrogés)

Un impact important des mesures sanitaires sur le commerce de centre ville

Bilan 1ère semaine des soldes d'été : un scénario catastrophe évité

Reportée de 3 semaines en raison de la crise sanitaire du Covid-19, 53% des commerçants interrogés estiment que cette 1ère semaine des soldes est décevante, voire très décevante.

• 4 commerçants sur 5 estiment que la fréquentation de leur commerce est inférieure, voire très inférieure à celle de l’an passé, en raison des vacances estivales et d'une chute de la fréquentation touristique. 
• Cette baisse de fréquentation a un impact direct sur le CA réalisé, 71,7% des commerçants déclarent celui-ci inférieur, voire très inférieur à celui de l’an passé
• 1/3 des commerçants n'ont pas pu ajuster leur commande de stocks, d'où des niveaux de remise très agressifs dès la 1ère semaine
• 71% ont pratiqué des ventes privées ; 59,3% sont satisfaits, voire très satisfaits des résultats;
• plus d'un tiers des commerçants optimistes sur l'avenir du commerce : de nouveaux services à développer
• des inquiétudes sur le trafic en centre-ville

Bilan soldes d'hiver : des résultats plutôt décevants pour la 2ème année consécutive

• 59,5% des commerçants interrogés estiment que cette première semaine de soldes est décevante, voire très décevante, un taux légèrement moins prononcé qu’en 2019 (70%), période marquée par le mouvement des Gilets Jaunes. Ce sont les commerçants du cours de l’Intendance, de la rue Sainte-Catherine et du Triangle d’Or qui semblent les plus insatisfaits par ce démarrage (2/3 d’entre eux).
• 2 commerçants sur 3 estiment que la fréquentation de leur commerce est inférieure, voire très inférieure à celle de l’an passé, qui pour rappel, était déjà jugée en baisse par rapport à 2018.
• Cette baisse de fréquentation a un impact direct sur le CA réalisé, 54,5% des commerçants déclarent celui-ci inférieur, voire très inférieur à celui de l’an passé, malgré des niveaux de remise plus agressifs dès la 1ère semaine des soldes pour ¼ d’entre eux.
• Les soldes ne sont plus l’évènement attendu par le consommateur, plusieurs raisons évoquées : remises promotionnelles pratiquées tout au long de l’année, ventes privées avant soldes, Black Friday qui impacte négativement, selon certains, la consommation durant les fêtes de fin d’année, le changement de comportement d’achat du consommateur, moins enclin à se rendre en centre-ville.

Bilan soldes d'été : un lancement difficile

• 60% des commerçants interrogés estiment que cette première semaine des soldes est décevante, voire très décevante.
• Seuls les commerces de la rue des 3 Conils semblent satisfaits par le démarrage des soldes (71%). A  noter, ceux situés rue Sainte Catherine, rue Porte Dijeaux, cours de l’Intendance et dans le Triangle d'or sont plus de deux tiers insatisfaits par cette première semaine.
• 6 commerçants sur 10 enregistrent une baisse de la fréquentation durant cette première semaine des soldes d’été par rapport à l’année dernière.
• Les principales raisons avancées sont les températures caniculaires, le mouvement des gilets jaunes, les remises et ventes privées pratiquées tout au long de l'année.
• des résultats mitigés qui s'accentuent au fil des années
• des soldes à repenser

Démarrage en berne pour les soldes d'hiver 2019 dans un contexte social mouvementé

• 30% des commerçants ont jugé la 1ère semaine des soldes satisfaisante, contre 70% décevante ou très décevante
• 75% des commerçants estiment que la fréquentation est inférieure ou très inférieure à l'année dernière ; 11% la jugent supérieure.
• Près de 3 quarts des commerçants estiment que le CA de la 1ère semaine des soldes est en baisse par rapport à la 1ère semaine de 2018.

Les secteurs les plus impactés : 

• Le plateau piéton (rue Ste Catherine, Porte Dijeau et 3 conils)
• Le triangle et le cours de l'Intendance semblent moins impactés, même si les niveaux d'insatisfaction restent élevés (66 et 61%)
• les commerces de chaussures, de lingerie et de santé déclarent avoir des niveaux de baisse les plus importants

Des remises toute l'année qui altèrent l'impact des soldes

• Près de la moitié des commerçants jugent que les ventes privées impactent de façon négative l'effet soldes. Un taux malgré tout en baisse de 20 points par rapport à l'année dernière.

Mouvement des gilets jaunes

• 89% des commerçants du centre-ville de Bordeaux jugent que le mouvement des gilets jaunes a eu un impact fort à très fort sur le démarrage des soldes.

Retrouvez dans cette enquête : 

• L'évolution de la répartition des commerces selon leur activité
• Une comparaison avec l'année 2009
• Les chiffres clés à retenir
• La localisation des principaux pôles d’activités

Post-confinement, la fréquentation piétonne dans le centre-ville de Bordeaux sur les 3 derniers mois est encore en deçà de 46% à ce qu'elle peut être en situation normale. L'absence de piétons est encore plus marquée sur le centre névralgique de passage des "shoppers" où elle atteint -54%.

A l'instar de la fréquentation piétonne, l'activité hôtelière est historiquement basse, avec un taux d'occupation de 49% en juillet sur Bordeaux métropole (-23 pt par rapport à juillet 2019).

Comment les ménages girondins ont-ils consommé pendant et après le confinement ? achats alimentaires et non alimentaires, achats de proximité et achats en ligne, restauration...

L'enquête a été menée en juillet dernier sur les réseaux sociaux. Plus de 5600 personnes y ont répondu, dont 1326 sur la Gironde et 1032 sur la métropole bordelaise.

Profil des répondants, comportements d'achats alimentaires et non alimentaires, achats de proximité et achats en ligne, restauration... Les résultats apparaissent pour la Nouvelle-Aquitaine avec un focus sur Bordeaux Métropole.

Les principaux résultats :

•  Achats alimentaires
  • peu de modification des habitudes mais des changements durables
  • modification des lieux d’achats en alimentaire frais qui profite à la proximité, aux commerces de petite taille et aux marchés
  • modification des lieux d’achats d’approvisionnement qui profite à la proximité et au drive sur la Métropole bordelaise
• Achats non alimentaires
  • de nombreux reports d’achats
  • des achats en grande partie réalisés dès le déconfinement
  • seule 1 personne sur 10 a changé de lieux d’achats pour les produits non alimentaires
  • des changements qui ont profité à la proximité en Nouvelle-Aquitaine et à Internet
• Achats en ligne
  • des variations d’achats qui se compensent et au global, peu d'évolutions d'achats sur Internet
• Restauration
  • utilisation des nouveaux services déployés par les restaurateurs pour près de 40% des répondants
  • prévision mitigée pour la fréquentation des bars et restaurants après la crise

• Chiffres clés,
• dispositifs d'aides sollicités
• relations avec les partenaires financiers
• conséquences économiques
• principaux freins à la reprise d'activité
• principaux besoins pour la reprise d'activité (à court terme)
• équipements de protection individuelle

• Chiffres clés,
• principales difficultés recensées auprès des commerces / CHR encore en activité,
• conséquences économiques,
• dispositifs d'aide mobilisés,
• relations avec les partenaires financiers,
• impact sur la trésorerie...

Les principales répercussions en termes d'activité citées par les commerces / CHR

• 78% des commerces/CHR sont contraints à la fermeture
• 94% déclarent avoir une baisse du CA
• 48% ont une baisse de fréquentation/commandes clients
• 36% ont une baisse de trésorerie
• 27% ont dû adapter leurs RH

La CCI Bordeaux Gironde a réalisé une étude d'impact de l'épidémie sur le commerce /CHR 

• 954 commerces / CHR girondins enquêtés
• 44% des commerces / CHR contraints à la fermeture
• 96% de la restauration traditionnelle déclare des baisses de CA > à 50%
• 56% des commerces / CHR craignent une fermeture définitive de leur établissement dans les 6 mois

Des mesures d’aides d’urgences sollicitées par le secteur : 

• 2 priorités : le report des échéances sociales et fiscales et l’étalement des créances

L'impact du mouvement des gilets jaunes sur les activités commerciales est resté important durant la fin de l'année 2018 et le début de l'année 2019.

A Bordeaux : 93% des commerçants interrogés ont déclaré avoir enregistré une baisse de fréquentation durant les 3 derniers samedis de décembre et le premier de Janvier. De même, 90% ont déclaré avoir enregistré une baisse de CA durant cette période.

Enquête réalisée par la CCI Bordeaux Gironde, disponible en téléchargement.

Fort impact des Gilets jaunes sur l'activité commerciale les samedis 24/11, 1er et 8 décembre 2018.

85% des commerçants interrogés constatent une baisse de leur activité. Près de la moitié ont déclaré avoir enregistré une baisse supérieure à 30%.

Enquête réalisée par la CCI Bordeaux Gironde, disponible en téléchargement.

Bilan CDAC 2024 : Des demandes de créations de surfaces qui restent à des niveaux très bas.

Forte baisse des demandes depuis 2020. Cette baisse s’est encore accentuée depuis 2 ans pour atteindre un peu moins de 10 200m2

76% des surfaces demandées acceptées. Un dossier sur 9 refusé.

50% des surfaces demandées soit environ 3900 m2 concernent le secteur de l’alimentaire.

Les faits marquants des CDAC - Commission Départementale d'Aménagement Commercial 2023

Une baisse des demandes examinées par la CDAC

• 5 dossiers examinés dont 2 drives (-77%)
• 10189m² demandés (-70%)
• 100% des surfaces demandées sont non-alimentaires

Les faits marquants des CDAC - Commission Départementale d'Aménagement Commercial 2022

Légère reprise des demandes : 

• 22 dossiers présentés, dont 2 drives : 21 dossiers en 2021, 17 en 2020, 32 en 2019. 
• Une hausse de 51% des surfaces de vente demandées, soit 33 880 m² : 22 478 m² en 2021, 19 625 m² en 2020, 89 337 m² en 2019. 

A noter :

• 3 dossiers mixtes, logements et commerces en pied d’immeuble. 

Les faits marquants des CDAC - Commission Départementale d'Aménagement Commercial 2021

• la demande reste basse malgré une légère augmentation du nombre de dossiers 
• 21 dossiers, dont 2 drives, ont été présentés en 2021 contre 17 dossiers en 2020 et 32 en 2019. 
• 22 478 m² de surfaces de vente ont été demandées, en hausse de 15% : 19 625 m² en 2020, 89 337 m² en 2019. 

A noter : 

• Des projets de faibles ampleurs ou composés de plusieurs cellules commerciales. 

Les faits marquants des CDAC - Commission Départementale d'Aménagement Commercial 2020

La loi ELAN et la pandémie ont entraîné une très forte baisse des demandes : 

• Une diminution du nombre de dossiers présentés de 47 % : 17 dossiers en 2020 contre 32 en 2019. 1 dossier concerne un cinéma. 
• Une diminution des surfaces de vente demandées de 78 % : 19 625 m² en 2020 contre 89 337 m² en 2019. 

A noter : 
- 76% des demandes sont concentrées sur l'aire métropolitaine de Bordeaux 

Voir aussi : l'impact de la loi Elan sur les CDAC au 1/01/2020 - entrée en vigueur du décret d'application du 17 avril 2019

Les faits marquants des CDAC - Commission Départementale d'Aménagement Commercial 2019

• Une diminution du nombre de dossiers présentés avec 32 dossiers en 2019, soit une baisse de 33% par rapport à 2018 (16 dossiers de moins). 91% ont été acceptés, 5 points de plus qu’en moyenne.
• Le maintien d’un haut niveau des surfaces de vente demandées, à hauteur de 89 337 m² malgré une baisse de 10 % (- 9 460 m²).
  A noter le dépôt de plusieurs dossiers de taille importante : 6 dossiers de plus de 7 000 m² de surface de vente ont été demandés représentant 69% de la surface de vente globale des dossiers déposés.
• Forte attractivité de l'aire métropolitaine de Bordeaux : ce territoire regroupe plus des 2/3 des m² demandés.
• 2 grands projets, intégrant de nombreuses cellules commerciales dont la surface est inférieure à 300m² : la Rue Bordelaise sur l’OIN Euratlantique de 30 956 m² et un Village des Marques à  Coutras de 15 364 m² (refusé en CDAC)
• La diminution des surfaces alimentaires demandées (- 7922 m², soit -40% par rapport à 2018)

Voir aussi : l'impact de la loi Elan sur les CDAC au 1/01/2020 - entrée en vigueur du décret d'application du 17 avril 2019